Pour ma part, c'est un amalgame de tout...que ce soit en trot, en plat ou en obstacle.
Les origines ne font pas tout, heureusement....!. Elles peuvent apporter des renseignements quant à l'aptitude d'un cheval a tel ou tel terrain, a telle ou telle distance, mais ce n'est pas une formalité.
Chaque course est différente de l'une de l'autre. On ne fait pas le papier d'une course de la même manière suivant qu'il s'agisse d'un handicap, d'une course à condition, d'un réclamer ou d'un groupe.
Plusieurs paramètres sont à prendre en compte.
Il faut regarder avant tout les performances du cheval, la forme de l’entraîneur et surtout, ne pas faire fi des aptitudes du cheval car en fonction de l'hippodrome (province ou région parisienne), du terrain (léger, bon souple, lourd), de la corde (droite ou gauche), et de sa manière de courir, un cheval aura plus ou moins de chance
Tout doit être pris en compte même si cela peut paraître fastidieux.
Les pilotes (drivers & jockeys) ne sont pas déterminants. Il peuvent faire la différence mais sont souvent sous cotés.
Qu'un entraîneur de province s'attache les services d'un pilote émérite attire souvent l'attention des parieurs et c'est compréhensible.
En fin de compte, il y aucune règle générale... faire le papier d'une course reste compliquer, quelque soit le niveau de la course, que ce soit au trot, en plat ou en obstacle.
C'est une affaire d'impression !